Djilali Kadid a collaboré durant 4 ans (1986 – 1990) en tant que critique d’art avec la revue hebdomadaire "Actualité de l’Emigration".
En 1988 sort dans cette revue, sous forme d’un numéro spécial, son dossier-enquête sur les artistes plasticiens issus de la Communauté maghrébine en France :
"l’Atelier de l’énergie de vie" N° 144 - 60 pages - septembre 1988
Successivement en mars 1990 et mai 1991, il rencontre les historiens d’art René Huyghe et Bernard Dorival, avec qui il enregistre des entretiens.
A partir de 1992, il s’attèle à la réalisation de projets d’ouvrages autour d’artistes contemporains de l’Ecole de Paris dont l’œuvre et le parcours l’intéressent : le peintre et graveur Abdallah Benanteur, le peintre Alfred Manessier, les peintres Maria Manton et Louis Nallard
En avril 1998, la revue Présence Africaine publie son article «La nostalgie du Paradis, quelques pas dans l’univers de Benanteur »
Il collabore, depuis sa création en 1997, avec la revue Algérie Littérature /Action
